Dans les semaines qui ont suivi les révélations du Globe and Mail sur les pressions subies par l’ancienne procureure générale du Canada, Jody Wilson-Raybould, pour conclure un accord de réparation avec SNC-Lavalin, deux clans se sont formés : le premier clan, qui appuyait Mme Wilson-Raybould, criait au scandale et à l’ingérence politique, tandis que l’autre défendait les interventions du premier ministre visant à sauver les emplois menacés d’une entreprise.