La semaine dernière, le fanatisme alimenté aux lubies complotistes et au narcissisme de Donald Trump a atteint un seuil critique. On attribue en partie ces dérapages à la multiplication des pratiques abusives sur les réseaux sociaux. Twitter et Facebook naviguent à vue lorsque vient le temps de contenir les dérapages émanant des mouvances extrémistes qui n’ont que faire des données et des faits vérifiables.