Jean Hétu, professeur | |||
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La qualité que je préfère chez une personne: | La Loyauté | ||
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: | La fidélité | ||
Mon principal défaut: | L'impatience | ||
Mon occupation préférée: | Faire des recherches en histoire | ||
Quel serait mon plus grand malheur: | Le décès de mes proches | ||
La couleur que je préfère: | Le noir | ||
La fleur que j'aime: | La tulipe | ||
L'animal que je préfère: | Un oiseau, le cardinal | ||
Mes auteurs favoris en prose: | Nil | ||
Des personnages historiques que j’aurais aimé rencontrer: | Le pape Jean-Paul II, mais je l'ai vu d'assez près à Rome | ||
Mes héros favoris dans la fiction: | Tintin | ||
Mes héroïnes favorites dans la fiction: | Nil | ||
Mes compositeurs préférés: | Au Québec, Claude Léveillée | ||
Mes peintres favoris: | Un peintre italien, Le Caravage | ||
Mes héros dans mon quotidien: | Mes petits-enfants | ||
Mes héroïnes dans l'histoire: | Rosalie Cadron-Jetté (1794-1864), originaire comme moi de Lavaltrie, qui a fondé la Communauté des Sœurs de Miséricorde pour s’occuper des filles-mères rejetées par la société | ||
Ce que je déteste par-dessus tout: | Le mensonge | ||
La réforme que j'estime le plus: | La « Loi Lacombe » du nom du parrain de cette loi de 1903 pour protéger les petits débiteurs contre les saisies abusives (c’est la section du « Dépôt volontaire » dans le nouveau Code de procédure civile) | ||
Le don de la nature que je voudrais avoir: | Vivre une deuxième fois pour enseigner le droit municipal à ceux qui n'ont pas eu la chance de suivre mon cours | ||
Le livre qui m’a semblé le plus révélateur: | Les registres paroissiaux du Québec depuis 1608 comprenant les actes de baptême, de mariage et de sépulture des ancêtres québécois, soit toute l’histoire du Québec | ||
Un livre que je n’ai pas encore lu: | Le prochain roman de ma fille, Julie Hétu, dont le précédent, soit Mot, était finaliste pour le Prix France-Québec | ||
État d'esprit actuel: | Bien dans sa peau | ||
Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: | Un oubli de bonne foi | ||
Ce que je ferais si je n’enseignais pas le droit: | Peut-être professeur d'histoire | ||
Le fait déclencheur qui m’a intéressé(e) à mon domaine: | Mon stage au contentieux de la Ville de Montréal qui m'a incité à faire une maîtrise en droit à l'Université d'Harvard | ||
Le texte le plus difficile que j’ai eu à écrire: | Mes examens pour l'obtention de ma maîtrise en droit à l'Université d'Harvard | ||
La décision de jurisprudence la plus emblématique de mon domaine: | Laurentide Motels Ltd c. Ville de Beauport (CSC 1989) en matière de responsabilité municipale | ||
La décision de jurisprudence que j’aime le plus enseigner: | Bonhomme c. Ville de Montréal (CA 1984). Il a fallu à un employé municipal attendre 9 ans et un jugement de la CA pour savoir si sa mutation à un autre poste constituait un congédiement lui permettant de commencer à contester cette décision devant un tribunal administratif. Ce jugement me sert à illustrer que derrière des jugements très importants pour l’évolution du droit se cache souvent un drame humain. | ||
L’article de loi qui ne cesse de m’interpeller: | Article 92 (8) de la Loi constitutionnelle de 1867 qui rappelle que les municipalités sont des créatures du gouvernement provincial et aucune reconnaissance constitutionnelle | ||
Ce que j’aime le plus dans mon domaine: | Le fait que les problèmes de droit municipal se retrouvent tous les jours dans l’actualité et dans les journaux |