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Coronavirus et...Droit musulman ! Autre contribution du Pr Harith Al Dabbagh à un ouvrage collectif

Il va sans dire que la maladie à coronavirus a frappé le monde entier. La COVID-19 s’est propagée à une vitesse inouïe dans les quatre coins de la planète. Le monde musulman n’y est pas resté étranger. Des mesures de confinement ont été imposées partout pour restreindre les déplacements, les rassemblements et les réunions publiques. Mosquées et lieux de cultes de différentes religions ont été fermés et les fidèles ont été invités à prier chez eux et à accomplir les autres rituels individuellement. L’intensité de ces mesures a été ressentie doublement d’autant plus qu’au moment où ces lignes sont tracées, elles coïncident avec le début du mois de Ramadan, mois de jeûne, de spiritualité et de solidarité très respecté en terre d’Islam. Dans la majorité des cas, les instances religieuses ont obtempéré et ordonné à leurs adeptes de rester à la maison, rompre le jeûne et prier chez eux. Le paiement de l’aumône (zakat) et les œuvres de charité, hautement valorisés ces jours-ci, ont été aménagés de manière plus discrète pour prévenir la propagation. Les cafés, restaurants et espaces publics, habituellement très achalandés et festifs le soir après la rupture du jeûne, sont restés vides.